
Earthing ou reconnexion à la terre
5 juin 2024, cela fait deux mois que j’ai installé mon alèse. Je me sens beaucoup mieux. Je suis étonnée de l’impact sur mon corps. Je sens des picotements au niveau de mes jambes une fois couchée. Je rêve beaucoup et je suis de bonne humeur au levé. Je me sens plus détendue. Cette sensation de bouillonnement au niveau de ma tête comme un trop plein d’électricité s’estompe.
Ceci dit, il arrive que je subisse encore des réveils à 2 heures du matin, souvent liés aux repas du soir. Je développerai la problématique de l’alimentation dans la rubrique du même nom.
En plus de l’alèse, j’ai décidé de marcher pieds nus dès que possible. Sur le carrelage (au rez-de-chaussée), dans l’herbe, sur la terre…

La reconnexion à la terre est apaisante. J’ai l’impression de retrouver un équilibre. C’est une sensation plutôt étrange.
J’observe mon corps, la moindre réaction, de l’intérieur.
16 juillet 2024, les sensations se sont un peu atténuées comme si le corps avait engrammé un nouveau fonctionnement. C’est comme s’il y avait un recalibrage, tout en douceur. Il m’arrive de faire encore des nuits blanches, beaucoup plus rares cependant et liées à des éléments mieux ciblés.
Mon corps demande à dormir vers 21 h 30 – 22 h. Parfois j’y cède, parfois je résiste parce que là aussi je me sens encore soumise à un fonctionnement passé.

Lors de mon dernier emploi (3 vacations sur la journée), j’avais l’impression de passer mon temps à mon travail. Je commençais tôt et finissais relativement tard. Je ne supportais pas cette idée de me coucher tôt pour reprendre une journée de travail. J’étirais donc la soirée afin de profiter des bons moments en famille et me couchais tard. Le cercle vicieux s’était installé progressivement.

